Réponse sur les résumés par JC Diébolt

La quatrième de couverture : commentaire sur les deux résumés ?…par Jean-Claude diébolt

Ils se sont efforcés à une brièveté qui informe sur l’essentiel :

  • Edénia pour l’ensemble de la saga ;
  • le Projet soumis à l’Union Européenne pour le Tome 0.

Il manquerait deux dimensions littéraires : l’ambitieuse intention de former un maximum de citoyens à un maximum de connaissances que ni les enseignements ni les médias ne dispensent, correspond au genre littéraire du roman de formation. S’y ajouterait en outre l’incursion fréquente dans le roman picaresque, tel que présent dans la 1° Partie du Tome 0 avec le séjour de Khriss en Inde.

Trois particularités du scénario motivent le mixage de ces trois genres : les Edéniens observateurs nous obligent à prendre du recul sur nous, à nous regarder par leurs yeux d’étrangers à l’humanité. D’autant plus que je les ai nantis d’une pensée kantienne : ils sont rationnels et éthiques. Passions, sentiments, tromperies, violences, leur font défaut. De tels décalages avec nous contraignent à atteindre avec précision, en deçà de ce qui encombre nos pensées, des jugements voués au vrai et au juste. Quant au beau, à l’amour généreux, à la fraternité, leur ignorance nous invite aussi à vérifier si et en quoi nous les pratiquons, plutôt que nous contenter d’ersatz frustrants…

Formations et SF, donc. La SF Edénia converge avec Chemins et sa quarantaine de Pionniers. La plupart de ces personnages sont tirés de mes amitiés, de mon parcours, ont animé l’association Cheminements Solidaires. Les activités de Chemins qui vont déboucher sur le montage d’un dossier pour l’UE, font pénétrer à la fois dans le formateur et le picaresque. 1810 Prédateurs, peuples isolés, novateurs alternatifs « cheminés », sont à raconter, nous promènent dans des milieux écartés des « autoroutes » de la communication moderne mais pas si négligeables pour autant, gros de potentiels capables de remédier à des impuissances présentes.

Comment, alors, esquiver la complexité et la densité d’un roman aussi démesuré ? Impossible. Des séquences de polar, d’espionnage et même de western, occuperont de plus en plus l’intrigue, mais seulement après le chapitre 6 du Tome 3… D’ici là, j’ai besoin d’achever les rédactions de tomes initiaux avec l’aide de lecteurs amis.

Les premiers retours émis par ces derniers ont déjà infléchi la suite des publications : il y aura deux versions, dès le Tome 1. La seconde sera « condensée et remaniée », occupant 200 à 250 pages par tome, pour « Le Domaine aux 9 langages » ; soit la moitié de la version « initiale, texte intégral » de « Le Chenal des Enfers ».

En fonction d’éditeurs qui se manifesteraient, un Tome 0 « condensé et remanié » sera rédigé, intitulé « Dans la Grotte de la Squaw ». Les images et textes des couvertures seront identiques. A noter que la version « condensée et remaniée » sera subdivisée en « sous-chapitres », sous forme de Parties  (1bis, 1ter, 1quatre, 1 cinq, etc.) afin de faciliter la lecture, le « texte intégral » donnant lieu à des Parties de chapitres raccourcies et aux intitulés explicites.

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