Conte, traité métaphysique ou Saga selon Jean- Claude DIEBOLT
« Nous aurons à réapprendre à voir, à concevoir, à penser, à agir. Nous ne connaissons pas le chemin, mais nous savons que le chemin se fait dans la marche. » Edgar Morin
« Les Lumières d’Altérion » ou « Terreurs de la Caverne » est un défi littéraire, né de la volonté de Jean-Claude Diebolt, métaphysicien-épistémologue, de faire partager ses connaissances acquises en plus de 50 années comme professeur. Ayant enseigné le français, il tente de diffuser savoirs et sciences par la voie du «roman de formation », agrémenté de moments d’aventures dans des milieux très divers.
Ce «roman de formation » reprend pour une part l’Allégorie développée par Platon dans le Livre VII de « La République ». N’est retenue que l’ascèse pour conquérir un jugement rigoureux, en se débarrassant des « ombres » projetées sur les murs de cette prison, préjugés incrustés en nous sous l’influence de modèles culturels et de coutumes aveugles. Cette tentative de roman formateur repose sur l’intention de surmonter des densités obscures qui rendent le vrai scientifique et le véridique de « savoirs érudits » inaccessibles au plus grand nombre de lecteurs, les essais ou études s’adressant à des spécialistes.
Une analyse précise des sciences en comptabilise 8 : deux formelles (logique, maths), une sur la matière inerte (physique-astrophysique-chimie), une sur les êtres vivants (biologie-zoologie), et quatre sur des structures de réalités humaines (linguistique, sociologie, psychologie, ethnologie) – que regroupe la trop vague discipline dite «anthropologie ». Quant aux cinq « savoirs érudits », ils se distinguent du vrai scientifique en ce que leurs objets d’étude débordent la possibilité de formuler sur eux des théories explicatives, par leur complexité cumulant trop de facteurs et paramètres. Avec l’histoire, la politique, l’économie, le droit et l’écologie, sont obtenues des données véridiques autres que vraies en ce qu’elles procèdent par descriptions et narrations.
TROIS CHEMINEMENTS
POUR SORTIR DE LA CAVERNE
ET ACCEDER AUX LUMIERES D’ALTERION
LE CONTE PHILOSOPHIQUE
Dans la lignée de ceux que composèrent Voltaire (« Zadig », « Candide », « Micromégas ») ou encore Swift avec « Les voyages de Gulliver », « Le prince philosophe » d’Olympe de Gouges, « Les lettres persanes » de Montesquieu, Melville avec « Moby Dick », ainsi que Carlo Collodi (1826–1890) auteur des aventures de Pinocchio et Prosper Mérimée (« Carmen », « Colomba »). Actuellement, après « Eglé, la reine des serpents » parue en 1905, ou encore avec Stevenson et son « Ile au trésor », on note Lewis Caroll (fin 19° siècle) avec « Alice au Pays des Merveilles », « Le petit prince » de Saint-Exupéry (1943), « Pierre et le loup » de Prokofiev (1936).
On constate ainsi que le recours à ce genre est demeuré constant au cours des siècles. Toutefois, les œuvres parues depuis l’an 2000 sont loin de restituer la situation économico-politique qui s’est instaurée internationalement à notre époque. Or, ce thème constitue le sujet central des « Lumières d’Altérion ».
LE TRAITE D’EPISTEMOLOGIE METAPHYSIQUE
Traité d’épistémologie métaphysique « La Caverne des Terreurs » : A savoir Introduction et Conclusion plus Plan. Eh oui ! Prise de tête, mais chacun peut s’y aventurer pour en retirer des connaissances peu diffusées qui élargissent nos horizons sur le monde actuel…
LA SAGA « LES LUMIERES D’ALTERION » ROMAN LITTERAIRE