PLAN TRAITE D’EPISTEMOLOGIE METAPHYSIQUE

 


Partie A : Parler – Penser


Chapitre 1 : Façons de parler, formes de pensées, façon de penser Pages 3 à 21

1 – S’exprimer et formuler (Véritable et vrai) Pages 3 à 12

  • a)- Le rôle de la langue : des usages et une logique formelle.
  • b)- Confusions à dépasser sur « oral » et « écrit ».
  • c)- Insuffisance des significations sur « discours » et « parole ».
  • d)- Déduction des deux façons de parler fondamentales : expression d’un être et formulation de connaissances rationnelles.

2 – Les formes de pensées (Enoncer et décrire-raconter) Pages 12 à 13

  • a)- Des formes organisées mais qui ne sont pas des structures.
  • b)- Une dynamique de l’interaction entre pensées par leurs formes.
  • c)- Les possibilités d’entrevoir l’informel sous-jacent au formel.
  • d)- Description du vécu et évocation d’un sensible éprouvé.

3– Choisir et créer (Actes et oeuvres) Pages 14 à 16

  • a)- L’obligation, ou exiger d’agir par un choix qui engage une personne humaine.
  • b)- Formes verbales et registres de langages pour une écriture.
  • c)- L’identité du moi et la personnalité d’un auteur ; ou la créativité et les mystères de la création.
  • d)- Les actes justes, une conduite sage et le bonheur par la beauté.

4 – Le vrai et les autres vérités (L’authentique, la validité, la véracité, le véridique) Pages 16 à 19

  • a)- Le vrai à théoriser ou à problématiser : expliquer et admettre.
  • b)- Le bon à comprendre : être authentique.
  • c)- Le juste à reconnaître, pour exiger une légitimité.
  • d)- Le beau à conquérir pour maîtriser (par véridique et validité rhétorique) ou ressentir un « univers » vérace.

5 – Le singulier avec l’universel (Individuel et personnel) Pages 19 à 21

  • a)- Pouvoirs du verbe ou puissance des détours (signal ou signification ; indices ou indications).
  • b)- Fabulations de l’imaginaire ou descriptions par imagination (simulations ou simulacres)
  • c)- Crédits par stéréotypes ou schématisation par modèles archétypes (symbolique ou symbolisation)
  • d)- La langue est parole en même temps que structures, et le singulier est interpersonnel

Chapitre 2 : Une réflexion méthodique pour reconnaître des vérités Pages 21 à 33

1 – Une triple discussion de l’allégorie de la Caverne, autour de la double passion terrorisante des prétentions et des défenses Pages 21 à 24

  • a)- Une quête de « vérités » autres qu’une acquisition de connaissances : des illusions « ontologiques » et des contresens sur l’éthique.
  • b)- Une libération de soi qui ne s’accomplit que par conflits avec les autres et dans un cadre institué : un savoir constitué terrorisant.
  • c)- Une intersubjectivité constitutive de l’être humain : la diversité irréductible des expériences collectives.rend problématiques les valeurs connaissables.
  • d)- Perspectives pour des développements : affronter un simplisme terroriste et ses complexes pour amener à progresser du simple au complexe.

2 – Altérités et compréhension entre interlocuteurs  Pages 24 à 26

  • a)- Toute parole, à soi-même comme à d’autres, ouvre une dualité entre compréhension et absurde.
  • b)- Voir des choses conduit à une conscience de regarder à plusieurs : les apparitions des apparences.
  • c)-  Chocs et déblocages : des seuils au supportable offrent l’occasion de développer les points de vue.
  • d)- Un sensible « phénoménal » : en deçà des réactions affectives et des complaisances à l’affectation, unb monde « pour soi » est à accueillir.

3 – Conditions pour se faire auteur d’énoncés personnels par les pratiques du verbe Pages 26 à 29

  • a)- Des informations requises mais sans que leur acquisition soit organisable collectivement.
  • b)- Un informel insoupçonné présent dans les représentations construites.
  • c)- Toute activité s’effectue par commentaires ; mais tout mensonge n’est efficace qu’en se détournant des actes qu’il évoque.
  • d)- Un abime de mutisme auquel s’arracher, mais une vertu de silences auxquels se confier.

4 – Crédits collectifs et humanité légitime Pages 29 à 31

  • a)- Cooptations substituées aux coopérations : consacrer et promettre escamotent les responsabilités à assumer.
  • b)- Les succès confondus avec une popularité : publics absents des spectacles alors qu’ils sont l’horizon des œuvres.
  • c)- Les exigences à promouvoir sont marquées par des fabulations qui persistent en dépit de connaissances acquises sur ces sujets.
  • d)- Un refus des cultures par identification oppressive entre des « niveaux » et des « registres » de langue.

5 – L’aventure d’une instruction Pages 31 à 33

  • a)- Une pathologie structurelle du « normal » : « sauvagerie » indépassable de l’individu socialisé.
  • b)- Le normatif et le contractuel : pas de modèle universel d’un « adulte » (ni d’enfants, d’adolescents, de vieillards), et des juges en procès.
  • c)- Instruire à une parole vraie malgré les contraintes éducatives.
  • d)- Explorer des « univers » singuliers pour inventer un monde personnalisé.

Partie B : Connaître et croire


Chapitre 1 : Sciences, connaissances, savoirs Pages 33 à 50

1 – Logiques et langages Pages 33 à 37

  • a)- Le concept de code : paramètres matériels et réalités organisées.
  • b)- Codifications et analyse objective : le formel et le transcendantal
  • c)- Codages et articulations : relations linéaires et dialectiques ; processus mécaniques et symbolisations.
  • d)- Langages et conceptions rationnelles : l’ensemble disjonctif d’une langue combinatoire coordonnée avec des images schématisées.

2 – Univers, nature, monde Pages 37 à 40

  • a)- Catégories, axiomes, postulations : entendement et imagination.
  • b)- Une détermination est conditionnelle : les limites de l’observable et le recours à une « nature » mythologique.
  • c)- Le « pour soi » d’un monde humain comme référence substantielle à toute interprétation rationnelle : l’analyse factorielle et les lois expérimentales ; expliciter pour expliquer.
  • d)- Un espace-temps, mais des étendues et durées empiriques ; mesurer et modéliser.

3 – Réel et réalités  Pages 40 à 42

  • a)- Idées directrices téléologiques et principes réfléchissants pour concevoir des hypothèses déterminantes : causalité et finalité autant mystifiantes que rationnelles.
  • b)- L’idée de « réel » relative à des croyances : des connaissances théoriques véritables sont relatives aux sciences sur les réalités humaines.
  • c)- Structures objectives et vécu des situations : des expérimentations sont à diversifier en fonction des objets ou des « corps » (corpus) auxquels les appliquer.
  • d)- Synthèses physiques, organismes, organisations, systèmes métaphysiques : réduire et simplifier pour vérifier mais une réflexion méthodique exige d’intégrer du non-rationnel en contradiction avec les structures.

4 – Connaissances non rationnelles et savoirs Pages 43 à 47

  • a)- Normatif et utilitaire : deux perspectives confondues sous couvert « d‘intérêts » qui font obstacles à des réalités empiriques comme à leur représentation par synthèses théoriques.
  • b)- Histoires et fabulations : récits symboliques et rationalisations aux pouvoirs ; occultations et dépossessions, crises et espérances frustrées.
  • c)- Economie et incohérences : antagonismes entre conflits et solidarités : un imaginaire du crédit inadéquat aux statuts comme aux compétences utiles aux collectivités.
  • d)- Technologies et impuissances technocratiques : fabriquer est planifié mais dépend de techniques « savantes » méconnues ; une industrialisation dérégulée compromet la gestion des ressources et réduit le qualitatif et le diversifié à des masses chiffrées.

5 – Objectiver, problématiser, comprendre Pages 47 à 50

  • a)-Les recherches scientifiques requièrent les controverses d’une réflexion épistémologique : la réduction à une matière traitée mathématiquement contredit l’observable à analyser.
  • b)-Les phénomènes : disjonction entre décrire des contextes structurés et expliquer.
  • c)- Des rationalités inventées par ruptures relatives : développer ces connaissances vraies nécessite de les situer en conservant les étapes déjà conçues.
  • d)- L’horizon d’ordres coexistants aux sciences appelle à les comprendre par et avec elles : les analyses critiques s’exercent pour choix et sentiment

Chapitre 2 : Cultures, formations, instruction Pages 51 à 65

1 – Recherches, enseignement et cultures scolaires  Pages 51 à 53

  • a)- L’objectif de former à une maîtrise de connaissances exclut la logique d’un savoir diffusé selon une « didactique » des savoirs.
  • b)- Incohérence des disciplines scolaires : des rituels normatifs de mise à l’épreuve y reproduisent ce qu’elles prétendent dépasser.
  • c)- L’institution scolaire obéit à la finalité d’adapter à des hiérarchies culturelles, étrangère à ses objectifs affichés : d’où une « méthodologie » de la simulation
  • d)- La pluralité des travaux scolaires traduit les tensions entre la soumission à des pouvoirs, l’injection de savoir-faire incertains, et des moments de transformation d’acquis.

2 – Non rationnel et irrationnel : révélations, mythes et mythologies Pages 53 à 56

  • a)– Sacré de respect et sacré d’interdit : tabous et mystères à combler
  • b) – Vertus cardinales : miracle d’Evangiles par leur actualité.
  • c) – Le religieux pluriel : dieux, textes révélés, clergé des églises.
  • d) – Problématiser les transcendances : monothéismes rivaux, quête de nirvana

3 – Abus de pouvoirs et lacunes dans les formations Pages 56 à 59

  • a)- Un « Conflit des Facultés » dans et entre programmes scolaires : les privilèges professionnels y détournent de la tâche d’instruire.
  • b)- La question d’une spécialisation : les découpages artificiels en savoirs scolaires dissuadent de pratiquer l’essentielle combinaison entre logiques.
  • c)- Amener à pratiquer des analyses exige d’expliciter des critères sur le non rationnel ce qui réclame de former à l’épistémologie.
  • d)- L’appartenance à des « corporations » introduit un religieux rampant  et un clergé gardien de dogmes, ce qui éloigne d’une « foi » dans la mission de critique autonome.

4 – Tromperies professionnelles ou découvertes d’un métier diversifié    Pages 59 à 62

  • a)- Les aléas de réussite aux diplômes ne suffisent pas à garantir des compétences : la formation initiale requiert le suivi d’un suivi « autodidacte ».
  • b)- L’acte initiateur personnel de se corriger : sans modèles pratiques d’adaptation aux nouveautés, connaître comme enseigner engage l’être.
  • c)- Mettre en œuvre des acquis opératoires, même élémentaires, engage de discerner les pressions de facteurs culturels, contre l’illusion linéaire de « niveaux » scolaires.
  • d)- L’isolement dans une hiérarchie administrative –désormais renforcée par la communication médiatique- confronte les désirs carriéristes à l’aridité de la mission d(attention à tous élèves.

5 – Difficultés à enseigner et perspectives sur une socialisation humanisée   Pages 62 à 65

  • a)- L’uniformité apparente des programmes masque l’hétérogénéité de leurs traitements : jugements évaluatifs non harmonisés entre « laborieux » maladroit et brillant superficiel.
  • b)- Enseigner déborde des classes : impuissance à intervenir sur les milieux familiaux comme sur les inégalités locales.
  • c)- Disciplines scolaires pipées insidieusement par l’économisme dans leur hiérarchisation, au détriment d’une utilité sociale et du long terme culturel.
  • d)- L’horizon d’une poursuite d’études mobilise enseignants comme élèves : les orientations, aiguillées dès l’école primaire, ne trouvent pas d’occasions de choix pour les redresser.

Partie C : Agir – Aimer


Chapitre 1 : Travail, pouvoirs, valeurs Pages 65 à 81

 1 – Démasquer les leurres de l’action politique pour concevoir les enjeux des conflits sociaux Pages 65 à 69

  • a)- Les archaïsmes persistants dans les évolutions réfutent les prétentions à initier du « nouveau ».
  • b)- Evaluer les parts d’accidentel et d’avènement dans les discontinuités historiques.
  • c)- Les conjonctions entre social, culturel et psychologique rendent imprévisibles les comportements collectifs : les durées historiques étant en crises potentielles échappent aux contrôles prolongés.
  • d)- Mettre en évidence les actes transformant les conditionnements : placer une sagesse dans l’art de dépasser une alternative stérile entre créer et subir des routines illusoires.

2 – Resituer les cultures dépossédées de leurs valeurs et richesses par des pouvoirs illégitimes Pages 69 à 72

  • a)- Le désir violent d’un capital exclut de reconnaître un patrimoine de créations humaines.
  • b)- Le droit coutumier l’emporte sur les légalités car les hiérarchies sociales s’instituent par confisca-tions dissimulées et tolérées.
  • c)- Un délire massif rêvant de conjurer une finitude radicale provoque l’arbitraire : une inégalité normale entre qualités esr travestie en sophisme d’injustices « naturelles ».
  • d)- « Maîtres » et « esclaves » en sursis : les satisfactions à produire en coopérant bousculent les désirs de défendre des avoirs captés par autorité.

3 – Passer de besoins affichés à des aspirations à réveiller pour pratiquer des solidarités Pages 72 à 76

  • a)- Le cliché rassure sans résoudre, alors que l’art de coexister mobilise une dialectique entre utilitaire et désintéressé
  • b)- Le spectaculaire des technologies renforce les lacunes de sociabilité, en abandonnant des ressources techniques aptes à la cultiver.
  • c)- Le sérieux dérisoire des parades publiques n’est supportable qu’en se réfugiant dans des évasions infantilisantes : le jeu est à restaurer dans sa fonction novatrice.
  • d)- Les disfonctionnements sociaux sont exorcisés en crimes pénalisables, visant à détourner de vaincre accords frauduleux et discriminations bloquantes.

4 – Déceler improductif et nocif dans les échanges pour évaluer les tâches      Pages 76 à 78

  • a)- Les monnaies ruinées par les fluctuations des prix ? Le travail est perverti par un salariat exploité.
  • b)- Valeurs déconsidérées par la notabilité : vertus dévaluées par un culte des réussites usurpées.
  • c)- Des aptitudes à acquérir méprisées par les promesses de facilité : des incantations démagogiques sur une « intelligence artificielle » standardisent et stérilisent les comportements.
  • d)- Un mondialisme réducteur dissimule des régressions brutales : le gigantisme centralisateur d’empires économiques se maintient par chantages dérégulateurs des coopérations sociales.

5 – Situer une période dans l’ensemble des époques pour se situer dans sa conduite  Pages 78 à 81

  • a)- Une période industrielle non durable ? Possibles et souhaitables réactualisations de périodes passées.
  • b)- Une modernité de consommation exacerbe les incitations incontrôlées : de même, l’espace médiatique non maîtrisé ne dispense pas de réflexivité et la citoyenneté s’effondre.
  • c)- En dépit de séquences diffusées sur l’histoire, leur mise en scène accrocheuse ne situe pas les contemporains dans l’ensemble des contextes culturels et leurs évolutions.
  • d)- La dénationalisation des unités productives les dissocie des racines socio-culturelles qui leur donnent sens et jugent leur utilité : ne restent qu’un « marché » centré sur des offres lucratives.

Chapitre 2 : Histoires, hommes, œuvres Pages 81 à 95

 1 – Repenser les frontières entre nations, de façon à résorber les discriminations Pages 81 à 84

  • a)- Comment reprendre le juridique institué entre Etats en fonction des organisations de la vie collective à améliorer en les harmonisant ?
  • b)- Comment gérer les instabilités indispensables aux évolutions complexes, de sorte à éviter les blocages ?
  • c)- Multiplier les différences enrichissantes par une égalité qui écarte la passion d’adversaires et d’ennemis.
  • d)- Répudier la sauvagerie libérale qui interdit de se mêler d’autrui, même glauque et criminel.

2 – Examiner les évolutions collectives en confrontant leurs sources à la mythologie d’un « progrès » irréversible Pages 84 à 87

  • a)- Développer l’immédiat en présent actuel, retrouvant les durées passés dans le contemporain.
  • b)- Rythmer les moments d’une vie en fréquentant les générations, l’âge n’obsédant que les immatures.
  • c)- La mémoire conditionne la tolérance : retracer les apparitions de cultures marque ce que chacune doit à toutes les autres et assure leur coexistence.
  • d)- Une idolâtrerie moderniste d’un « progrès » fabulatoire abolit la valeur spécifique de projets nationaux sans pour autant éradiquer l’exigence d’autonomie qui ne trouve pas à s’exprimer.

3 – Susciter des échanges publics sur désirs et plaisirs selon publicités et œuvres sublimes Pages 87 à 90

  • a)- Décrypter comment des appétits se traduisent en gamme d’éclosions sensorielles et sensuelles enracinant des moments de bonheurs.
  • b)- Des souffrances enfouies implante l’attente de partenaires amicaux et amoureux, confidents par qui évacuer la passivité où des échecs passés nous font stagner.
  • c)- Rejet et contresens sur l’inconscient acculent à mépriser le corps habité par notre psychisme, bloquant ainsi l’accès au goût et aux sentiments à épanouir.
  • d)- Une fermeture du monde industriel aux mystères du vivant cohabite avec une mystique de l’animal sauvage, contradiction irrésolue qui nous abêtit sur notre situation dans l’ensemble des vivants.

4 – Substituer les conditions d’hommes aux redites creuses sur « l’homme »   Pages 90 à 92

  • a)- Vaincre duplicité et mauvaise foi qui masquent les faiblesses sous une assurance sourcilleuse et détournent d’une confiance courageuse à risquer.
  • b)- La mythologie d’un racisme colonialiste sur « l’homme » porteur d’une civilisation unique, greffée aux héritages de dogmatismes religieux, brandissent des « monstres » et des « péchés » qui aveuglent sur l’obligation universelle d’humanité
  • c)- Les utopies politiques, transcrites en doctrines bureaucratiques d’Etats coupés des citoyens, privent jusqu’à maintenant les collectivités de conception sur un régime respectant les peuples..
  • d)- Démissions et impuissances politiques à remédier aux oppressions poussent à se réfugier dans un individualisme tout autant aliéné, qui se pare de parodies de valeurs, sans dignité assumée.

5 – Repérer l’extra-ordinaire dans le quotidien que l’essentiel libère du divertissant Pages 92 à 95

  • a)- Reprendre l’imaginaire sur don et génie pour les appliquer à tous talents généreux.
  • b)- Les réussites qui se glorifient à l’écart du monde reproduisent les aristocrates repliés dans leurs forteresses tandis que les miséreux qu’ils pressurent croupissent dans leurs taudis
  • c)- Valoriser la discrétion de cheminements inestimables qui tissent des mixités à célébrer.
  • d)- Accompagner une histoire sans fin : notre finitude ne nous condamne ni ne nous damne mais nous motive à créer sans bornes.