Alternative citoyenne aux réseaux sociaux superficiels

Les « réseaux sociaux » tentaculaires méritent un réexamen qui les confronte avec la démarche de l’engagement associatif, trop peu visible. Promouvoir la part des associations citoyennes, novatrices et solidaires est légitime mais comment le rendre recevable? Le biais des pistages effectués pour collecter et classer ces pionniers sensibilise-t-il à la qualité d’un corpus d’acteurs essentiels?

Il était une fois…

Par cette formule du conte s’ouvrirait le chantier qui a accaparé l’un de mes quatre domaines de recherches, celui qui détient un potentiel citoyen susceptible d’injecter des avancées significatives dans l’espace économico-politique actuel, désespérant.

Par avance, j’exprime à l’équipe de « Vivre au village », blog qui m’a sollicité à titre de contact, mon regret et mon espoir de ne pas rompre nos liens esquissés. Ce qui suit détaillera l’itinéraire suivi par plus de trente années de labeur obstiné, et d’où a résulté la constitution d’une Base de données en 12 « Gisements de richesses associatives » lourde de quelques 4 millions de références.

Or, parmi les membres de ce blog « Convivialiste » figurent des chercheurs qui ont obstinément refusé d’adhérer à mes découvertes d’acteurs solidaires innovants, en maintenant leur « entre soi » bien trop étroit, fermé à la prospection en direction d’autres ressources que celles qu’ils avaient entérinées…

C’est l’une des motivations de ce billet. A eux, de même qu’à n’importe quel autre lecteur de ce billet, je propose de suivre par quel itinéraire j’ai accédé à la découverte de richesses associatives capables de constituer une économie alternative à celle des transnationales mondialisées verrouillant les développements nationaux. Ma quête reste à étendre à l’international, par le dépouillement des organismes associatifs créés en Europe, en Afrique, au Moyen Orient, en Asie.

Limites aux résultats obtenus par ma prospection : le contenu des activités effectuées par ces acteurs demande à être vérifié, au-delà de leur « objet » déclaré au JO. Par ailleurs, restent à examiner la qualité de leurs liens avec des structures positionnées sur des missions équivalentes, proches, complémentaires aux leurs.

En attendant, j’espère motiver à se lancer sur mes traces en racontant…

Il était une fois, 23 sources d’informations essentielles à la relance de nos économies par des pratiques de réactualisation des équidés, de sports de plein air liés à des exercices de bien-être, de protection animale, de circuits courts en alimentation bio, d’artisanats fructueux, de volonté de dynamisations citoyennes, de valorisation des cultures artistiques et scientifiques, des actions de formation insérante et de retour à l’emploi, de sauvegarde des environnements, d’ouvertures à l’internationale, de coopération avec les pays les plus démunis. (C’est la liste des 12 Gisements, dans l’ordre de leur numérotation. Sur www.cheminements-solidaires.com on trouvera des cartes dites « interactives » créées par Bruno Choplin qui les exposent). LIRE LA SUITE

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